Superbe soirée en leur compagnie. Merci nos drôles de dames.
148 messages.
Énorme sensibilité… les poils se dressent… Chapeau à tous les deux !
Le lieu est juste magique ! Ambiance et frisson assurés avec un hôte généreux Jean Jacques Adam !!! Programmes variés ce qui nous invitent à venir et revenir au théâtre Monsabré.
Merci pour ce bon moment car je ne peux plus marcher alors merci beaucoup ??et en plus un vrai talent spontané c'est super
Encore une bonne soirée passée dans votre théâtre ! C'était super drôle ! Merci à très vite !!!
Au théâtre Monsabré il a été tourné en 1997 des scènes de théâtre pour le feuilleton "Les Zèbres" diffusé sur la 5ème chaîne de télévision.
Soirée géniale le fils égal le père et ce n'est pas peu dire !!!
Je suis née sous kermitt et la chèvre fut le maire de la ville qui m'a vu naître.
Merci pour le spectacle d'hier soir c'était génial ?
Vivement le prochain...
Vivement le prochain...
On a ri !!!! Mais on a ri !!!!! Merci ça fait du bien !!!!
Les spectateurs du théâtre Monsabré à Blois ont vibré ce vendredi soir à l'occasion de la venue d'Arthur Le Forestier, fils de l'illustre chanteur Maxime.
Le jeune artiste dévoile de superbes chansons telles que "Pas Belle", "Océan Indien" ou "Aujourd'hui Je T'oublie". Il reprend aussi Cookie Dingler ("Femme Libérée") et Georges Brassens. Sa voix est magnifique, son jeu de guitare précis et délicat. Arthur communique beaucoup, il semble à la fois décontracté ("comme à la maison") et ému par l'enthousiasme et la réceptivité totale de l'audience.
Bruno Guglielmi le rejoint pour jouer quelques titres dont une merveilleuse version de "La Ballade de Jim" d'Alain Souchon. Puis c'est au tour de Maxime Le Forestier en personne de monter sur scène pour un formidable "Né Quelque Part". Émotion garantie pour ce duo père-fils, un moment tout simplement exceptionnel.
Après le morceau "Bye Bye", le public insiste pour obtenir de nouveaux rappels. Il n'y en aura qu'un mais pas n'importe lequel : l'extraordinaire "Et Si En Plus Y'A Personne", remarquablement exécuté. Du très grand Souchon, comme on aime, dans le Loir-et-Cher et partout ailleurs.
Le jeune artiste dévoile de superbes chansons telles que "Pas Belle", "Océan Indien" ou "Aujourd'hui Je T'oublie". Il reprend aussi Cookie Dingler ("Femme Libérée") et Georges Brassens. Sa voix est magnifique, son jeu de guitare précis et délicat. Arthur communique beaucoup, il semble à la fois décontracté ("comme à la maison") et ému par l'enthousiasme et la réceptivité totale de l'audience.
Bruno Guglielmi le rejoint pour jouer quelques titres dont une merveilleuse version de "La Ballade de Jim" d'Alain Souchon. Puis c'est au tour de Maxime Le Forestier en personne de monter sur scène pour un formidable "Né Quelque Part". Émotion garantie pour ce duo père-fils, un moment tout simplement exceptionnel.
Après le morceau "Bye Bye", le public insiste pour obtenir de nouveaux rappels. Il n'y en aura qu'un mais pas n'importe lequel : l'extraordinaire "Et Si En Plus Y'A Personne", remarquablement exécuté. Du très grand Souchon, comme on aime, dans le Loir-et-Cher et partout ailleurs.
Merci pour ce moment... formidable. Arthur Le Forestier porte haut son patronyme. Une soirée exceptionnelle où l'on ressort du théâtre sans que les pieds ne touchent terre... Il a su transmettre ses émotions et son amour pour sa passion de la musique et des mots avec une chaise et une guitare. Bravo l'artiste !
Je sors de votre théâtre où j'ai pu apprécier la comédie : Chéri, faut qu'on parle. Les acteurs étaient très bons et j'ai beaucoup ri.
Je vous remercie de cette programmation, et un grand bravo aux acteurs.
Je vous remercie de cette programmation, et un grand bravo aux acteurs.
Hier soir, sous les platanes délicatement illuminés de couleurs orangées (bravo à l'équipe de Monsabré), Marie-Hélène Barrier a magnifiquement interprété Debussy, Chopin, Liszt, Beethoven, Brahms, Franck. Chaque morceau était introduit par un petit moment narratif par lequel la pianiste nous a donné sa vision du compositeur et de certains moments de sa vie. J'ai retenu ces phrases écrites en 1840 par Franz Liszt (dans une lettre à Marie d'Agoult) : "Si nous n'arrivons pas au bonheur, c'est peut-être que nous valons mieux que cela. Il y a trop d'énergie, trop de passion, trop de feu dans nos entrailles pour nous asseoir bourgeoisement dans le possible." Encore bravo à Marie-Hélène Barrier, qui sera reprogrammée cette année, ai-je cru comprendre, à Monsabré. Je vous invite tous à venir l'écouter : vous en sortirez grandis et transportés (l'effet de l'art...).
Nouvellement installé à Blois, je me devais de découvrir le Théâtre Monsabré dont mes amis férus de spectacles me parlent depuis pas mal de temps. Ce vendredi soir, j'étais heureux de revoir les musiciens tourangeaux David Baez et Fabienne Baez qui se sont déjà produits sur scène, en mars à la Quinière, lors d'une soirée Roxette Roxette. Or, cette fois-ci, il n'est plus question du duo Monsieur Dame mais d'un sextette nommé Johnson Concorde.
Le visionnage de quelques vidéos sur Internet m'avait permis d'appréhender partiellement cet objet musical non identifié, je m'attendais donc à un concert de rock'n'roll plutôt atypique et haut en couleurs.
Et pour cause ! Le groupe délivre un spectacle totalement réjouissant en jouant vite et fort des compositions personnelles qui touchent à de nombreux styles (glam-rock, punk, hard, pop, country...). Maquillage et paillettes, code couleur noir et blanc, chorégraphies haletantes, David et ses acolytes épatent par une débauche d'énergie phénoménale et un humour contagieux (in English, made in Las Vegas !).
Le visionnage de quelques vidéos sur Internet m'avait permis d'appréhender partiellement cet objet musical non identifié, je m'attendais donc à un concert de rock'n'roll plutôt atypique et haut en couleurs.
Et pour cause ! Le groupe délivre un spectacle totalement réjouissant en jouant vite et fort des compositions personnelles qui touchent à de nombreux styles (glam-rock, punk, hard, pop, country...). Maquillage et paillettes, code couleur noir et blanc, chorégraphies haletantes, David et ses acolytes épatent par une débauche d'énergie phénoménale et un humour contagieux (in English, made in Las Vegas !).
Un dimanche soir très rock'n'roll dans la cour du théâtre Monsabré, à Blois, pour un hommage aux Inmates, groupe de pub-rock culte des années 80.
En 2014, la formation havraise "A Fabulous Tribute to the INMaTES" avait joué à la Guinguette, juste avant Elliott Murphy mais je n'avais vu que la fin du show. J'avais déjà été épaté par ces musiciens qui donnent tout, un peu comme si leur vie en dépendait !
Cette fois-ci, bien campé au premier rang, je n'ai pas raté une miette de leur concert qui a commencé par l'excellent "Heartbeat" avant de parcourir le répertoire qui comprend des standards tels que "The Walk" et "Midnight To Six Man". Cependant, pas de reprises des Beatles que les Inmates avaient su magnifier lors d'un concert mémorable en 1987, à la Villette.
Ce soir, malgré la chaleur, la cohésion du groupe est tout simplement impressionnante. On sent un énorme plaisir à jouer face à un public enthousiaste et réceptif.
L'incontournable "Dirty Water" est joué au début des rappels. Une version tellement nickel qu'on se consolerait presque de n'avoir pas vu sur scène la formation originale. Des copies de cette qualité, on en redemande !
En 2014, la formation havraise "A Fabulous Tribute to the INMaTES" avait joué à la Guinguette, juste avant Elliott Murphy mais je n'avais vu que la fin du show. J'avais déjà été épaté par ces musiciens qui donnent tout, un peu comme si leur vie en dépendait !
Cette fois-ci, bien campé au premier rang, je n'ai pas raté une miette de leur concert qui a commencé par l'excellent "Heartbeat" avant de parcourir le répertoire qui comprend des standards tels que "The Walk" et "Midnight To Six Man". Cependant, pas de reprises des Beatles que les Inmates avaient su magnifier lors d'un concert mémorable en 1987, à la Villette.
Ce soir, malgré la chaleur, la cohésion du groupe est tout simplement impressionnante. On sent un énorme plaisir à jouer face à un public enthousiaste et réceptif.
L'incontournable "Dirty Water" est joué au début des rappels. Une version tellement nickel qu'on se consolerait presque de n'avoir pas vu sur scène la formation originale. Des copies de cette qualité, on en redemande !
Merci d'avoir programmé Cauet au théâtre, nous avons passé un excellent moment ! Le théâtre est très sympathique et nous sommes proche des artistes qui s'y produisent.
À bientôt.
À bientôt.
Merci beaucoup pour toutes ces étoiles.
Petit théâtre avec beaucoup de charme. Je trouve l'ambiance très sympathique.
Théâtre sublime rien d'autre à dire peu importe ce qui vous plait il y aura toujours quelque chose qui vous plaira.